Discussion relative à l'étude graphologique de l'écriture du célèbre contrebandier Louis Mandrin.
Commentaires et annonces (3)
Publié par e-ultreia le vendredi 23 mai 2008 à 23:09
Effectivement.
J'avais oublié cette annexe dans ce livre de 88;
Mais je pense que l'on peut rajouter certaines choses.
Comme une certaine tristesse, un découragement, par la forme même des messages, la fin des mots.
La signature à gauche et le paraphe enveloppant peuvent traduire l'exclusion sociale et le besoin de se protéger.
Il pourrait être intéressant de faire figurer dans le site l'analyse d'Eliane Petit de Mirbeck pour renseigner et pourquoi pas compléter. La SFDG peut nous aider de façon efficace, sachant le sérieux de la formation d'expert en écriture.
Publié par peillon le vendredi 23 mai 2008 à 16:33
Il y a une analyse graphologique dans le roman de Chantal Villepontoux-Chastel : Belle humeur. Elle est réalisée par Eliane Petit de Mirbeck, graphologue-conseil, expert judiciaire en 1988.
Cordialement
Publié par e-ultreia le samedi 17 mai 2008 à 10:08
Au travers des billets laissés par Mandrin, il serait peut-être intéressant de faire une étude approfondie.
Une étude comparative( les 12 facteurs) permettrait de déterminer si tous les billets sont bien de la main de Mandrin.
Il existe des exemples certifiés de sa signature, et ce depuis l'âge de 9 ans, montrant les modifications successives du scripteur.
La forme générale des messages peut être révélatrice, l'aspect soigné, régulier, la jonction entre les lettres et l'espace entre les mots.
La forme pointue des jambages n'est pas étonnante, mais que penser de la signature toujours à gauche, du paraphe enveloppant?
Ce pourrait être une étude de personnalité intéressante, en tenant compte bien sur des limites de la graphologie et du contexte XVIIIe siècle.
Des scanners des billets pourraient se voir sur ce site.
Amis graphologues, soyez les bienvenus.
Publié par e-ultreia le vendredi 23 mai 2008 à 23:09
Effectivement. J'avais oublié cette annexe dans ce livre de 88; Mais je pense que l'on peut rajouter certaines choses. Comme une certaine tristesse, un découragement, par la forme même des messages, la fin des mots. La signature à gauche et le paraphe enveloppant peuvent traduire l'exclusion sociale et le besoin de se protéger.
Il pourrait être intéressant de faire figurer dans le site l'analyse d'Eliane Petit de Mirbeck pour renseigner et pourquoi pas compléter. La SFDG peut nous aider de façon efficace, sachant le sérieux de la formation d'expert en écriture.
Publié par peillon le vendredi 23 mai 2008 à 16:33
Il y a une analyse graphologique dans le roman de Chantal Villepontoux-Chastel : Belle humeur. Elle est réalisée par Eliane Petit de Mirbeck, graphologue-conseil, expert judiciaire en 1988. Cordialement
Publié par e-ultreia le samedi 17 mai 2008 à 10:08
Au travers des billets laissés par Mandrin, il serait peut-être intéressant de faire une étude approfondie. Une étude comparative( les 12 facteurs) permettrait de déterminer si tous les billets sont bien de la main de Mandrin. Il existe des exemples certifiés de sa signature, et ce depuis l'âge de 9 ans, montrant les modifications successives du scripteur. La forme générale des messages peut être révélatrice, l'aspect soigné, régulier, la jonction entre les lettres et l'espace entre les mots. La forme pointue des jambages n'est pas étonnante, mais que penser de la signature toujours à gauche, du paraphe enveloppant? Ce pourrait être une étude de personnalité intéressante, en tenant compte bien sur des limites de la graphologie et du contexte XVIIIe siècle. Des scanners des billets pourraient se voir sur ce site. Amis graphologues, soyez les bienvenus.